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—·· « Je nien ai plus besoin d’estomac. Non ii je n’en ai plus besoin, nous sommes ruinés. ’

— « Nous sommes ruinés.... ·lésus-Maria ! mon doux Sauveur ! est-il possible P... Ah ! ap mensieur, courez donc.... courez donc, »

Pçnsia nt que le curé saecommodait à la hâte, et qu’impati¤nt.pa1’la difficulté de passer ses boucles, il ne pouvait jamais se chausser assez vite, Moiselet, du ton le plus lamentable, lui faisait le récit de ce qu’, il avait vi1.: « En êtes- p gi vous biensûr ? lui ditle curé, peut-·être n.’ontils pas tout pris....

— » Ah ! monsieur, Dieu le. veuille ! Mais · D j8..I ;’8i’paa eule. cœur d’y regarden. n,

Ils se dirigèrent ensemble vers. la. vieille grange, - où ils reconnurent que liextlëvement étâit Qomplet. IEn. contemplant l’étendue de son malheur, le curé faillit tomber : à la. renverse, Moiselet de son côté était dans un état à faire pitié, la cher homme. s’affligeait plus encore qté ? si la pertelui eût été personnelle. Il Fallait J B¤L¢¤dre..ses. soupirs et ses gémissements. Ceci était litzffet de l’amour du prochain. M. Sénarcl · ne se doutait] gukne.qu’à Liv ry, la désolation était § l, § Ril1(lB.· Quel désespoir quand il reçut la nouvelle de l’événement ! A Paris, la police est la