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Il je vais à deux pas porter ·mon panier, et >. nous mangerons une côtelette.. — ’ ».Ce n’est pas la peine, je..... Eh ! mais, qui est-ce que j’entendsP » ’

Sophie et moi nous restons stupéfaits 2 des cris aigus ·s’échappent du panier, je lève. le ’ linge qui le recouvre, et je vois.... run enfant de deuxzitrois mois, dontles vagissements auraient ’déchire le tympan d’un mort.

Eh bien li dis-je à Sophie, le poupon est sans doute à toi ? Pourrais-tu me dire de quel. sexeil est ?. f, q-4

» Allons ! mevoilà encore enfoncée ; je me souviendrai de celle-là ; et si jamais on ’ww me demande ~le sujet pourquoi, pourrai n répondre : rien, presque rien, une affaire d’enfant. Une autre fois, quand je volerai du · linge, j’y-regarderai. · ’

— » Et ce parapluie, en est-il ? ’ —· » Ehl mon Dieu ! oui..... Commeltif n vois, ]’avais pourtant de quoi me niettre à ’ couvert, ça n’a pas empêché ; quand là chanee yest’, on-a beau faire.... » e " Je conduisis Sophie chez M. de Fresne, ’com== missaire de police, dont le bureau était dans le ’ voisinage. Le parapluie fut gardé comme pièce.