Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/164

Cette page n’a pas encore été corrigée

un uixoxnns. es si malin, ajoutai-je, en lui montrant sous son enveloppe une emplète que nous avions faite en route, devine ce qu’il y a là dedans. -’ -· » Comment veux-tu que je devine il » t Alors déchirant un des’coins du papier, je mets à découvert les pattes d’une volaille. ’. I —· » Ah, sacredieu s’écrië-t-il, c’est un dindon. ’ · — » Eh oui, c’est ton frère...., et comme tu le vois, c’est aux pieds qu’on connaît ces animaux-là ; comprends-tu l’apologc à présent ?

... » Qu’est-ce qu’il dit ? l ’

— » Je dis qu’il est rôti... ’ ’ — » Oh bahl vous vous serez fait gourer, de la venaison l I — »De la venaison ! tiens, sens-moi ça plutôt. » Je lui passe la volaille, et tandis qu’il la flaire et la retourne dans tous les sens, Gaffré se baisse, ramasse les souliers et les fourre, dans son chapeau. —·— »· Et combien que ça coûte, ste bête ? — » Un rondin, deux bulles et dix Jacques. ’ J — » N.. de D... l sept livres dix sous ! c’est le prix d’une paire de souliers.