Page:Verne - Robur le conquérant, Hetzel, 1904.djvu/81

Cette page a été validée par deux contributeurs.

menaient sur la plate-forme, on pourrait dire sur le pont de l’aéronef. Rien de changé depuis la veille : l’homme de garde à l’avant, le timonier à l’arrière.

Pourquoi un homme de garde ? Y avait-il donc quelque choc à redouter avec un appareil de même sorte ? Non, évidemment. Robur n’avait pas encore trouvé d’imitateurs. Quant à rencontrer quelque aérostat planant dans les airs, cette chance était tellement minime qu’il était permis de n’en point