Page:Verne - P’tit-bonhomme, Hetzel, 1906.djvu/137

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
128
p’tit-bonhomme.

La Hard ! Ainsi qu’on la désignait. (Page 124.)

Il est vrai, puisque le gin, le wiskey, le porter, ne coulent pas dans le lit des ruisseaux de Rindok, il s’ensuit que la satisfaction de ses penchants d’ivrognesse absorbait le plus clair de l’allocation versée entre ses mains. Et, en ce moment, des cinquante shillings reçus en janvier par tête d’enfant pour l’année entière, il n’en restait que dix à douze. Que ferait la Hard pour subvenir aux besoins de ses pensionnaires ? Si elle ne risquait pas de mourir de soif, étant donné un certain