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appareils du capitaine boyton.

« Hourra ! » Répondit Fry. (Page 180.)

restant de queue, protégée par l’épaisse capote de caoutchouc, le laissait dire. La crainte d’être abandonné suffisait, d’ailleurs, à le maintenir à courte distance.

Vers deux heures, quelques oiseaux se montrèrent. C’étaient des goélands. Mais ces rapides volatiles s’aventurent fort loin en mer. On ne pouvait donc déduire de leur présence que la côte fût proche. Néanmoins, ce fut considéré comme un indice favorable.

Une heure après, les scaphandres tombaient dans un réseau de sargasses, dont ils eurent assez de mal à se délivrer. Ils s’y embarrassaient comme des