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LE SUPERBE ORÉNOQUE.

— Enfin, vous voilà arrivés… dit Jacques Helloch au patron de la Moriche.

— Oui… et en sept jours… ce qui est rare, lorsqu’il s’agit de franchir le raudal d’Atures. »

Et Parchal disait vrai, mais ces Banivas sont d’excellents mariniers, il est juste de le reconnaître. Il n’y avait qu’à les louer de leur habileté et de leur zèle, et ces braves gens se montrèrent d’autant plus sensibles aux éloges des passagers, que ces éloges furent accompagnés de quelques piastres supplémentaires, — à titre de bonne main.