Page:Verne - Le Secret de Wilhelm Storitz, 1910.djvu/185

Cette page a été validée par deux contributeurs.
169
LE SECRET DE WILHELM STORITZ.
Derrière cette porte, j’entends des pas…
Derrière cette porte, j’entends des pas…

Voilà où en était mon frère ! N’avais-je pas lieu de redouter que dans une de ces crises, sa raison ne succombât comme avait succombé celle de Myra ?

Pourquoi fallait-il qu’Otto Storitz eût fait cette découverte maudite ? Pourquoi fallait-il qu’il eût mis une telle arme entre les mains de l’homme déjà trop armé pour le mal !

En ville, la situation ne s’améliorait pas. Bien qu’aucun autre