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LE SECRET DE WILHELM STORITZ.
Ah ! frère, que je suis heureuse !
Ah ! frère, que je suis heureuse !

des piliers de la nef, et semblait animer la face tourmentée du géant qui la soutient de ses énormes épaules.

Lorsque la sonnette se fit entendre, l’assistance se leva, et, aux mille bruits qui en résultèrent, succéda le silence, pendant que le diacre lut en psalmodiant l’Évangile de Saint-Mathieu.

Puis l’archiprêtre, se retournant, adressa une allocution aux fiancés. Il parlait d’une voix un peu faible, la voix d’un vieillard