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Des corps jonchaient le sol. (Page 160.)


tout. Je puis être forcé de fuir… Eh bien, il ne faut pas que ma mère vous quitte. La pauvre femme est à bout de forces, et si je suis forcé de me séparer de vous, je ne veux plus qu’elle me suive. Vous voyez où elle en est, malgré son énergie et son courage. Je vous la confie donc, Natalis, comme je vous confie Marthe, c’est-à-dire tout ce que j’ai de plus cher au monde !

— Comptez sur moi, monsieur Jean, répondis-je. J’espère que