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et les fioles, et d’un comptoir de bois noirci, derrière lequel Jonas se tenait à la disposition de sa clientèle.

« C’est toujours le burg qui vous occupe ! »

Voici maintenant comment cette salle recevait le jour : deux fenêtres perçaient la façade, sur la terrasse, et deux autres fenêtres, à l’opposé, la paroi du fond. De ces deux-là, l’une, voilée par un épais rideau de plantes grimpantes ou pendantes qui l’obstruaient au dehors, était condamnée et laissait passer à peine un peu de