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LA JANGADA

de se revoir à Manao, au retour, et, plus tard, à la fazenda d’Iquitos.

Le lendemain matin, 5 septembre, au lever du soleil, le signal du départ fut donné. Joam Dacosta, Yaquita, leur fille, leurs fils, tous étaient sur le pont de l’énorme train. La jangada, démarrée, commença à prendre le fil du courant, et, lorsqu’elle disparut au tournant du rio Negro, les hurrahs de toute la population, pressée sur la rive, retentissaient encore.