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Ils restèrent inaperçus… (Page 138.)

l’énorme massif dont est formé ce coin de l’îlot. Le clivage oblique de ces roches, qui semblent être disposées suivant la coupe géométrique des pierres de l’intrados d’une voûte, contraste singulièrement avec le dressage vertical des colonnes qui le supportent.

Au pied des marches, la mer, moins calme, sentant déjà les troubles du large, s’élevait et s’abaissait doucement, comme par un effort de respiration. Là se reflétait tout le soubassement du massif, dont l’ombre noirâtre ondulait sous les eaux.

Arrivé au palier supérieur, Olivier Sinclair tourna à gauche, et montra à