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apparut dans la pénombre du crépuscule, vers huit heures du soir.

On côtoya alors la forêt des Djeffra-Chéraga. (Page 176.)

Une assez bonne auberge donna l’hospitalité à tout ce monde un peu fatigué.

Avant de se mettre au lit, l’un des Parisiens dit à l’autre :

« Enfin, Marcel, si nous étions attaqués par des fauves, et si nous avions le bonheur de sauver M. Dardentor des griffes d’un lion ou d’une panthère, est-ce que ça ne compterait pas ?…