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le dîner. Quelques voyageurs ont essayé de fumer sur les plates-formes, mais les rafales les en ont bientôt chassés. Chacun a repris sa place sous les lampes voilées de rideaux, et, vers dix heures et demie, la respiration des uns, le ronflement des autres, rivalisent avec le grincement continu du train sur l’acier des rails.

Je suis resté le dernier à prendre l’air, et Popof échange deux ou trois mots avec moi.