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de bœufs épars à travers les pâtures. Toute cette riche campagne est arrosée par le Mourgab, — l’Eau blanche — ou par ses dérivations, et les faisans y pullulent comme les corbeaux à la surface des plaines normandes.

À une heure de l’après-midi, le train s’arrête en gare de Merv, à huit cent vingt-deux kilomètres d’Ouzoun-Ada.

Voilà une ville qui fut souvent défaite et refaite ! Les guerres du