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odes en son honneur

Quelque perversité
Dans que de majesté… !

Et quand l’heure est sonnée
D’unir ma destinée
À Son Destin fêté,
Je puis aller sans crainte
Et bien tenter l’étreinte
Devers l’autre côté :
Leur concours m’est prêté.

Je me dresse et je presse
Et l’une et l’autre fesse
Dans mes heureuses mains.
Toute leur ardeur donne,
Leur vigueur est la bonne
Pour aider aux hymens
Des soirs aux lendemains…

Ce sont les reins ensuite,
Amples, nerveux qu’invite
L’amour aux seuls élans
Qu’il faille dans ce monde
C’est le dos gras et monde,
Satin tiède, éclairs blancs.
Ondulements troublants.