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TITYRE ET MŒLIBÉE


 
Avec des flûtes dans leurs mains,
Se sont perdus par mes chemins
Tityre et Mœlibée ;
Ils n’ont rien vu de mon pays
Que des voiles de brouillard gris
Et des feuilles tombées.

Son pâle été leur parut froid
Avec son brusque et lourd convoi