Cœur, puis, très souvent, les dimanches, une partie du
mois de mai et une partie du mois de juin. En peu de
temps les habitués de l’église l’apprécièrent. On venait à
la sacristie le consulter. On se recommandait à ses prières ;
non pas seulement les gens du peuple, mais aussi des
personnages. La princesse Massimi, belle-sœur de la
comtesse de Chambord, aimait à s’édifier auprès de lui en
de pieux entretiens.
Ainsi passa la première année de sacerdoce du P. Verjus. Il n’oubliait certes pas les Missions dans cet humble et laborieux ministère de chapelain. Il attendait, parmi des épreuves que le temps n’est pas venu de raconter, en des alternatives de sainte impatience et de résignation amoureuse, l’heure des supérieurs, qui est toujours celle de Dieu.