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D’impie au cœur indifférent !
Et depuis lors ces fleurs chagrines
Quand je les ai sous mes narines
N’ont plus leur parfum pénétrant.

Malgré ma baguette de fée
D’or et d’argent tout étoffée,
Je n’ai rien pu changer, hélas !
À ces tristes métamorphoses !
Ne me donnez jamais de roses,
Ne me donnez plus de lilas !