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Oui, jadis, votre voix douce m’ensorcela ;
Vous souriez, si peu vous importe cela !
Mais de joie aujourd’hui ma raison s’est enfuie,

Car je n’ai jamais cru que vos baisers soyeux
Et vos doigts effilés caresseraient mes yeux,
— Chair intacte, veux-tu ma chair inassouvie ? —