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NOTES.

(1) Dans sa première édition, Vasari dit que cette preuve du savoir de Pesello fut un tableau que l’on plaça dans l’église de Santa-Lucia dei Bardi.

(2) Ce gradin fut enlevé et donné à Michel-Agnolo le jeune, qui le remplaça par une autre peinture. — Voyez le Baldinucci, Dec. VI, part. ii, sec 3, c. 121.

(4) Le P. Richa, pag. 142 et 143 de ses Notizie istoriche delle Chiese fiorentine, dit plus clairement que Vasari, que ces quatre petits sujets réunis forment le tableau de l’autel. Il ajoute que, des quatre chapelles que la famille des Albizzi possède dans l’église de San-Pier-Maggiore, celle qui se trouve sous l’horloge est également ornée d’un tableau de Pesello.

(4) L’église de San-Giorgio, maintenant Dello-Spirito-Santo, a été restaurée de fond en comble, et les tableaux qu’elle renfermait, tels que ceux de Peselli, de Giotto et du Granacci, furent transportés dans le monastère des religieuses.

(5) On lit dans la première édition de Vasari les vers suivants, composés en l’honneur de Pesello et de son fils Pesellino :

Se pari cigne il cielo i duoi Gemelli
Tal cigne il padre e’l figlio la bell’ arte
Che Apelle fa di se fama in le carte,
Come fan le rare opre a’ duo Peselli.