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BUONAMICO BUFFALMACCO.

dans les baptistères, les campaniles élevés par les Marco Giuliano, par les Buono, par les Bonanno, les Guglieîmo, que dans les tours, les clochers, les églises entrepris à Saint-Denis et à Chartres, par notre Suger, notre Hilduard. Ils y sont aussi bien, au treizième siècle, dans les œuvres toscanes de Marchione d’Arezzo, de Fuccio de Florence, que dans les œuvres françaises de Robert de Luzarche et de Hugues LF bergier, aussi bien dans le Campo-Santo de Niccola de Pise, que dans la sainte chapelle de Pierre de Montereau ; aussi bien dans les entreprises si exactement contemporaines d’Erwin de Steinbach et du Lapo.

NOTES.

(1) Voyez le Dècameron, journée viii, n. 3, 6 et 9, journée ix, n. 5 ; et les nouvelles 191 et 192 de Franco Sacchetti.

(2) Monier, dans son Histoire des Arts, pag. 166, dit que Buffalmacco était élève de Taddeo Gaddi ; mais rien ne justifie cette assertion.

(3) C’est-à-dire le château de San-Giovanni-Battista.

(4) Ces peintures de San-Giustino ont été plâtrées.

(5) Giovanni Villani, lib. vm, cap. 70, raconte minutieusement cette fête.

(6) Voyez le Borghini, Orig. di Firenze, pag. 131 ; et le Manni, Terme di Firenze, pag. 27.