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chues, exilées, pour qui peut-être l’oubli commence, dussé-je même vous déplaire par cette louange, vous n’avez pas éteint la France ! Vos lois lui ont permis de réagir contre vos principes ; vous avez souffert qu’elle grandit contre vous-même, et l’ayant reçue insultée par la victoire, humiliée par la fortune, vous l’avez laissée, en la perdant, toute pleine d’orgueil et d’espérance. »

Je reprendrai, dans le second volume de ces Mémoires, le récit des événements et l’appréciation impartiale des hommes politiques de la restauration.




FIN DU PREMIER VOLUME.