Page:Véga - Les présences invisibles, 1932.djvu/204

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
186
les présences invisibles

tions et les convoitises terrestres, possédés par mille inquiétudes frivoles, attentifs à tous les bruits du monde, ce qui nous rend terriblement sourds aux appels de l’au-delà.

Quand par hasard nos bien-aimés nous voient rassemblés et réunis dans la même amitié pour eux, ils en profitent pour nous faire sentir qu’eux au moins ne nous abandonnent pas… Car sans le savoir même, si souvent nous nous éloignons d’eux, nous leur sommes rebelles et infidèles !