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ix
préface

auteur pensait que cet ouvrage ne vaut rien, on pourrait le comparer à un père négligent qui abandonne un fils mal élevé au mépris ou à la compassion du monde. Eh ! bon Dieu ! si un homme ne se croyait ni talent, ni instruction, pourquoi donc écrirait-il ? Ayant ainsi renoncé à mes priviléges à l’indulgence, il me reste à dire quelques mots sur l’origine et le but du roman que je publie.

Admirateur enthousiaste du génie profond de sir Walter Scott