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CHAPITRE IV


Lorsque les deux cousins furent seuls dans le parc, Ils parlèrent encore quelque temps de mistress Askerton et de sa singulière ressemblance. Will, tout en causant, considérait à part lui comment il amènerait le sujet qui l’intéressait sans se nuire par trop de précipitation.

En quittant le cottage, ils avaient pris à travers le parc un chemin conduisant à un rocher élevé d’où l’on découvrait la mer d’un côté, et de l’autre une grande étendue de pays. Arrivés là, ils s’assirent.

« Cet endroit est le plus joli de toute l’Angleterre, dit Clara.

— Je n’ai pas vu toute l’Angleterre, répondit Belton.

— Allons, Will, ne soyez pas si positif. Je dis que