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où, pourvu qu’elle puisse avoir un asile jusqu’à ce qu’elle soit mariée.

— Ne peut-elle demeurer au château pour le présent ?

— Comment ! toute seule ?

— Elle y est maintenant, n’est-ce pas ?

— Oui, certainement. Il n’y a personne près d’elle que mistress Askerton, et il n’est pas bon pour elle de n’avoir pas d’autre société dans un pareil moment.

— Je ne pense pas que mistress Askerton puisse lui nuire.

— Mistress Askerton ne lui nuira en aucune façon, et tant que Clara ignorera son histoire, elle lui sera aussi utile que tout autre ; mais cependant…

— Ne puis-je aller la trouver, Will ?

— Non, chérie, le voyage vous tuerait en hiver, et puis il n’en serait pas content ; or nous sommes forcés d’y songer, bien que ce soit une créature sans cœur ni âme.

— Je ne vois pas pourquoi il serait si mauvais que cela.

— Ni moi non plus, mais je sais qu’il est tel. Mais pourquoi parlerions-nous de lui ? Je suppose qu’elle va aller à Aylmer-Park et qu’ils l’y garderont jusqu’à ce que tout soit fini. Je vais vous dire, Mary, je lui donnerai la propriété.

— Le château de Belton ?