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TROIS PETITS POÈMES

» En voilà beaucoup trop, sans doute, milord, sur un poème qui mériterait d’être condamné à un éternel oubli, si la curiosité insatiable et irritée par une proscription rigoureuse ne lui donnait une vogue éphémère ; car, au fond, il ne peut plaire à aucune espèce de lecteurs, et n’a pas même le mérite des livres de ce genre pour les jeunes débauchés, dont ils fomentent les passions, et pour les vieux, dont ils rallument les désirs.

» Puissiez-vous, milord, ne pas avoir besoin de pareilles ressources ! Pour moi, j’ai toujours le cœur chaud pour mes amis et surtout pour vous.

» 1er février 1779. »