Dans la réimpression de 1874 et dans les éditions subséquentes, ce passage où l’on pouvait voir la première pensée, — modifiée depuis du tout au tout, — du début de Germinie Lacerteux, a été remplacé par cette seule phrase :
« Deux ou trois bonnes de lorette, au bonnet envolé, à la tête de lézard, à la parole cynique et crue, complétaient cette société de la loge où l’on voyait encore la bonne d’un paralytique sur le rouge nez de laquelle tressautait une verrue noire ».
Eau-forte de M. Th. Chauvel, d’après une aquarelle de Jules de Goncourt, datée de février 1863, et représentant la fosse commune au cimetière Montmartre.
Édition collective, tomée de I à VI ; il a été tiré de chaque volume vingt-cinq exemplaires numérotés sur papier de Hollande.
I. Germinie Lacerteux. Nouvelle édition. In-18, viii-279 pp.
II. Madame Gervaisais. Nouvelle édition. In-18, 309 pp.
III.Renée Mauperin. Nouvelle édition. In-18, 4 ff. non chiffrés, ii-339 pp. et un catalogue de l’éditeur (6 ff.) non paginé.
IV. Manette Salomon. Nouvelle édition. In-18, 3 ff. et 444 pp.
V. Charles Demailly. Nouvelle édition. In-18, 3 ff. et 406 pp.
VI. Sœur Philomène. Nouvelle édition. In-18, 2 ff. et 310 pp.
Voyez également les deux numéros suivants qui complètent à cette date la première réimpression des œuvres d’imagination des deux frères.
Réimpression d’Une Voiture de masques, précédée d’une courte préface datée d’août 1876 ; la Femme du Mézouar est supprimée et remplacée par Un aqua-fortiste, nouvelle publiée dans l’Artiste sous le titre de : Monsieur Thomas. Les auteurs, en écrivant ce court et poignant récit, ont certainement pensé à Charles Méryon.