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chrétien. Il fut accueilli avec cordialité, quoiqu’on ne sût pas qu’il était l’ami personnel de Pamphilius qui était aimé et respecté de tous.

À table, Pamphilius aperçut son ami, et, avec un sourire aimable, s’approcha de lui et l’embrassa.

« Me voici enfin, » s’écria Julius. « Dites-moi ce que je dois faire, je vous obéirai. »

« Ne vous inquiétez pas de cela, » répondit Pamphilius, « allons-nous-en ensemble. »

Pamphilius emmena Julius à la maison réservée aux étrangers et vagabonds, et lui montra son lit.

« Vous verrez, » dit-il, « comment vous pouvez être utile aux autres. Il ne vous faut que regarder autour de vous lorsque vous serez plus accoutumé à nos habitudes. Mais afin