Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol6.djvu/122

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vant ainsi remuer les deux, elle agita l’autre deux fois plus fort, à travers son corps, et courut rapidement.

Elle avait peur, et sentait que si elle apercevait ou entendait n’importe quoi, même sa mère vivante, elle mourrait de peur. Les yeux fermés, elle courait par le chemin qu’elle connaissait.