Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol28.djvu/426

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Vogüé, soutenant fermement Antoine dans son entreprise.

Nous publions cette traduction avec l’autorisation des traducteurs, auxquels nous exprimons ici toute notre gratitude. Nous donnons cette traduction parce que, outre sa valeur littéraire, elle répond à l’exigence que nous nous sommes imposée en entreprenant la traduction des œuvres complètes de Tolstoï, d’être une traduction littérale.

De plus, les épreuves de cette traduction ont été revues et corrigées par Tolstoï lui-même, qui a approuvé le travail de MM. Pavlovsky et Méténier, comme on le voit par la lettre de la fille de Tolstoï, Tatiana Lvovna, lettre citée dans la préface de l’édition Calmann-Lévy, et que nous reproduisons ci-dessous :

« Gracieux seigneurs,

Mon père vous fait communiquer qu’il a reçu vos épreuves ; il approuve beaucoup votre traduction et vous la rend avec quelques petites corrections qu’il a trouvées nécessaires ; il est très content de voir monter La Puissance des Ténèbres et surtout au Théâtre-Libre.

« Prête à votre service,
« Tatiana Tolstoïa. »

Les fruits de l’Instruction ont été édités chez Lemerre en 1891, sans nom de traducteur et sous le titre : Les fruits de la science.

Le premier bouilleur a été traduit en français par Adrien Souberbielle et édité, sans date, dans les éditions de la « Revue d’art dramatique. »

P. Birukov.