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Ainsi il ne restait que ces malheureuses gens, oisifs, des employés, des copistes, des valets sans emploi, des mendiants, des ivrognes, des prostituées, des enfants que l’on ne pouvait aider par l’argent, mais qu’il fallait bien examiner, observer et caser. Je cherchais les malheureux tout simplement, les malheureux par la misère, ces malheureux qu’on peut secourir en donnant son superflu, et, par une malechance particulière — à ce qu’il me semblait — je n’en trouvais pas. Je ne trouvais que des miséreux auxquels il fallait consacrer beaucoup de temps et de soins.