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démonstration sur la coutume de mes amphitryons de manger de la chair humaine, si peu utile que soit, pour le captif destiné à être mangé, mon refus de manger des côtelettes, je n’en mangerais pas et n’en pourrais manger. Peut-être mangerais-je de la chair humaine si la famine m’y forçait ; mais je ne le ferais pas comme régal, je ne participerais pas au régal de chair humaine. Je ne le rechercherais pas et ne serais point orgueilleux d’y participer.