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sa toilette qui lui allait si bien ; mais cette beauté et cette élégance maintenant l’irritaient.

— Mes sentiments ne sauraient changer, vous le savez ; mais je vous supplie de n’y pas aller, lui dit-il, de nouveau en français, le regard froid mais la voix suppliante.

Elle n’entendit pas ses paroles et ne remarqua que le regard. Elle répondit très irritée :

— Et moi, je vous prie de m’expliquer pourquoi je ne dois pas sortir ?

— Parce que cela peut vous attirer des… Il se troubla.

— Je ne comprends pas. Touchkévitch n’est pas compromettant et la princesse Barbe n’est pas plus mal qu’une autre. Ah ! la voici !