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raient de pitié pour Natacha et parce qu’il n’était plus. Le vieux comte pleurait parce qu’il sentait que bientôt son tour viendrait de faire ce même pas terrible.

Maintenant Natacha et la princesse Marie pleuraient aussi, mais non de leur douleur personnelle, elles pleuraient à cause de l’attendrissement pieux qui emplissait leur âme, avec la conscience du mystère simple et solennel de la mort qui s’accomplissait devant elles.