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LE JUIF ET LA SORCIÈRE.

marchant à ses côtés, appuyée sur son bras, et qu’il regardera avec amour ! Oh ! tous les supplices, je les endurerai plutôt que celui-là… ! »

Elle marchait à pas précipités, rêvant d’un air farouche comme font les malfaiteurs. Hélas ! c’était bien un crime qu’elle méditait.