Page:Tercy - Le Juif et la sorcière, 1833.pdf/101

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

CHAPITRE XX.

Cette entrevue consolait cependant son agonie ; et lorsque le jeune homme l’eut quittée, désespéré et pleurant comme une femme, ce souvenir éloignait de sa pensée le supplice qu’on lui réservait. Elle ne le subit pas ; on la trouva morte dans sa prison, et l’on pensa que le Démon l’y avait étouffée. Son cadavre fut porté sur le bûcher, et dévoré par les flammes. Elle