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n’était plus un corps de fillette qui s’abandonnait à ses caresses ! Certes, elle n’en discutait pas le plaisir ! Mais, ici ces belles cuisses, dont la blancheur et la puissance rutilaient à ses yeux, creusaient dans sa cérébralité des forces de luxure, qui s’épanouissaient en actes lascifs et désordonnés sur ces chairs pantelantes. Elle pianotait sur ce ventre au si pur satin comme pour en pomper l’électricité fluidique qui l’incitait à y poser les joues ; elle faisait courir de petites lèvres sur cette forêt de poils touffus où tout l’arôme féminin se concentrait pour jeter le vertige dans l’âme des voluptueux et des voluptueuses ; sa langue pendait, s’appliquait sur le con qui frétillait de sensualité, tendait à l’absorber dans le vagin : elle noyait le visage à l’entre-cuisses, et il lui semblait que sa tête se rapetissait au milieu de cet océan de blancheurs : elle précipitait les léchées et les suçons, profitait des sursauts des fesses, pour les obliger à se soulever, elle picotait de la pointe de la langue, dans la fente, jusqu’au trou, et elle repartait dans des minettes enragées. Elle soufflait dans les cuisses, elle suçait le