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le lecteur à le suivre dans l’œuvre délicate que lui assigne la volonté d’une charmante institutrice. Œuvre flagellante, œuvre délicieuse qu’il apprécie comme elle le mérite. Il s’emballe le polisson d’instrument, et il décrit ce qu’il ressent (quelle audace), dépeint les régions sphériques qu’il zèbre et caresse à sa façon. Que les atours, soulevés, révèlent des formes plus ou moins proéminentes elles n’en sont pas moins des formes jeunes et coquettes, toujours appétissantes, et il ne cache pas l’admiration qu’elles lui inspirent. Combien l’envieront.


Par le Fouet et par les Verges, par Tap-Tap. Les Concubines de la Directrice, 1 vol. papier de Hollande, tiré à 300 exemplaires.

Net. fr. 50 »

L’Institution Sticker, dans les environs de Londres, est une importante maison d’éducation pour les jeunes Miss : on leur forme le caractère par une instruction solide et morale appuyée sur d’intéressantes corrections de flagellation. — Longtemps l’établissement fut irréprochable.

Vif et d’une rare originalité ; le style en est très châtié ; aucune expression ordurière ne vient déparer les descriptions — pourtant très osées, — que l’auteur ne craint pas d’entreprendre. C’est gaiement écrit, finement raconté et absolument parisien.



La Chute des Vierges. 1 vol. Net. fr. 50 »

Le vent souffle, et c’est la débauche, la luxure qu’il apporte dans l’institution Sticker. Le grain a poussé, Miss Sticker, la sévère directrice, l’homme revêtu de jupes féminines, ne résiste plus à ses passions. Ah, si les mères savaient le sort qui attend leurs filles ! Les jeunes Misses ne trahissent pas les secrets de la maison. Des plus jeunes aux plus âgées, la complicité s’est établie. Aujourd’hui c’est une des grandes qui succombe, rencontrée brusquement au tournant d’un couloir par la directrice, enragée à déflorer les jolies pucelles confiées à sa garde ; demain, ce sera une moyenne, et peut-être même une enfant violée sans pitié. Il faut lire le livre, on y apprend bien des choses sur les vices des fillettes et de leurs maîtresses.