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plus forte sucée de la gamahucheuse ; tout cela était pour inspirer l’amour et le désir de baisage. La science libertine de la Française s’en donnait à cœur-joie sur cette jeune beauté, qui imposa sa volonté à toute l’Institution, en régnant, enfant-femme, sur les sens de Jean Sticker, et sa langue marchait avec une vélocité qui poussait Hilda à se tordre, à se pâmer. La cyprine mouillait à peine, qu’une longue et expéditive langue l’enlevait ! C’était un délire de gestes lascifs et de sauts, où l’ardeur passionnée gagnait de plus en plus les deux filles, où elles s’attrapaient à bras-le-corps pour se baiser sur la bouche, se proposer mille tendresses. Reine, un peu sevrée de ses charnelles habitudes, s’affolait ; elle avait quitté sa robe, et, en petit jupon, sans corset, elle présentait les seins à Hilda, pour qu’elle les tétât ; s’accroupissait à cheval sur ses cuisses pour la branler en se branlant elle-même, clitoris contre clitoris. Hilda la supplia de se laisser gougnotter, elle se jeta en soixante-neuf avec elle pour ne rien perdre de son ivresse sensuelle. Alors les deux langues se marièrent, fonc-