Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/38

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 26 —


Quoique n’ayant pas enduré un supplice pareil à celui d’Hilda, Christya dut garder deux jours l’infirmerie, pour rétablir le joli satin de sa peau. Quant à Lucy, ayant rejoint Lisbeth après sa classe, elle n’échappa pas non plus au châtiment, Lisbeth la jeta en travers, sur ses genoux, le dos en l’air, releva ses petites jupes, exhiba son jeune postérieur dehors du pantalon, gentil et beau petit cul aux contours bien pris, avec sa petite raie rosée et effrontée, et avec la main, elle lui distribua une magistrale fouettée, rougissant les chairs : le pauvre derrière se trémoussait en vain pour esquiver la claque ; les doigts de Lisbeth se séparaient et tapaient avec plus de dureté : la fente se resserrait sous la souffrance, les jambes de l’enfant gigotaient ; la fessée s’étendait, se transformait en une pince méchante sur les mollets, et les coups redoublaient d’intensité. Lisbeth disait :

— Petite Lucy, lorsqu’on est au service de l’amie de la directrice, lorsqu’on lèche le devant et le derrière de cette amie, on n’écoute pas les sales propositions des autres élèves, tu m’entends. Si d’autres osent