Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/170

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 158 —


dermes se faisait, les poils masculins s’unissaient aux poils féminins, toute la queue était avalée par le con ; folle enfant de volupté, Reine déroulait ses cheveux, bravant tous les dangers, et les éparpillait autour de la tête de l’amant : les mains fiévreuses d’Harold pétrissaient les chairs de ses fesses ; jambes masculines et jambes féminines se heurtaient, s’entrecroisaient ; les ventres se rejoignaient et luttaient pour provoquer le germe viril, la queue allait et venait dans le con, chatouillant le vagin de ses violentes secousses ; tout à coup Reine éclata d’un rire si sincère, qu’elle en décontenança son baiseur.

— Qu’as-tu donc, mauvaise diablesse, demanda-t-il avec humeur ?

— Je pensais que ce serait bien drôle si le hamac se détachait, et si nous nous écroulions tous les deux sur le parquet. Nous nous défoncerions peut-être les côtes, et on nous emporterait sur des civières. Juges-tu de l’effet ? On te mènerait en prison, pour avoir suborné une mineure ; je sais qu’on est très sévère en Angleterre pour ces histoires-là. Quelle que soit ta po-