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Pour mieux le contraindre à agir, l’effrontée française lui lança un petit coup de pied dans l’estomac, et sauta sur le hamac, solidement amarré, et qui se mit à osciller. Harold, ivre de désirs, se débarrassa de sa culotte, et y grimpa, non sans quelque difficulté : elle l’attira, ses jupes déjà relevées vers le cou, ses cuisses étalées pour l’enconnement. C’était bien toujours ce même tempérament de luxure qui s’offrait, comme il s’était offert à Fréfré. Elle connaissait le jeu de l’amour, elle voulait en user. Harold ne s’était jamais trouvé en présence d’un tel caractère féminin : il se sentait pressé dans les bras de Reine, qui le baisait sur la bouche, et arrangeait les jambes autour de sa taille pour qu’il eût toute latitude de la bien posséder : sa queue, enflée et forte, s’élançait vers ce jeune con déjà conquis à l’amour, et qui l’invitait au plaisir ; elle en franchissait l’accès, s’engouffrait dans le vagin, dont elle prenait possession, pour commencer les amoureuses trépidations du coït, au milieu du balancement du hamac que, Reine, par des coups de hanches, s’amusait à activer ; l’adaptation des épi-