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rière qu’elle chatouillait d’instinct ; il sautait sur son ventre, et elle bondissait sur son cul pour répondre à son assaut ; la même vigueur les animait, ils se léchaient la bouche, ils se patouillaient mutuellement pour bien prendre connaissance de leurs sexualités, et cette fois Lucy, accroupie sur les genoux, caressait de sa petite main l’épine dorsale de Jean, abaissant de temps en temps pour envoyer la langue à son cul. Le doux combat s’engageait aussi vaillant que le premier. Hilda délirait sous la possession virile, elle ne retenait plus des petits cris de détresse sensuelle, et voyant qu’ils excitaient davantage son amant, elle les exagérait, se trémoussait comme une vraie femme, proclamait Jean son maître et son dieu, jurait qu’elle ressentirait du bonheur à mourir pour lui être agréable, et Jean jouissait, jouissait, déchargeait. Un long jet de sperme mouilla de nouveau le complaisant vagin ; le con pressa sur la queue pour l’empêcher de s’enfuir, Lucy reprit sa position pour tendre le postérieur à un nouvel essuyage du foutre. D’une main brutale, Jean, ayant sorti sa pine du con d’Hilda, attira contre