Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/122

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 110 —


qui n’était pas le cas aujourd’hui. Il présenta sa queue à Lucy qui, cessant de le fouetter, le masturba avec une lenteur calculée. Hilda, sur son avis, se mettait toute nue et grimpait sur le lit. Il saisit Lucy par une oreille, l’y conduisit et lui commanda de se coucher dans la ruelle, afin qu’elle assistât aux premières loges à ce qui se passerait. La fillette n’en paraissait pas ennuyée, elle en avait sans doute l’habitude avec celle qu’elle considérait comme sa Lisbeth aimée ! Enfin, Jean et Hilda allaient goûter à leurs plaisirs de l’année précédente, et qui seraient bien plus vifs par l’attente endurée, par la pensée du solide accord qui en résulterait. Hilda n’était plus la pucelle de jadis, malgré la petite ouverture de son con : elle écarta les jambes, sitôt que Jean l’eut rejointe sur le lit, et elle le recevait dans ses bras, soupirant après cette possession dont elle s’effrayait tant avant les vacances ; elle frémissait au contact de sa queue contre son con, et elle l’offrait à son désir de jouissance, de toute sa volonté, de tout son échauffement. Cette queue, bien moindre que celle d’Hippolyte, bandait de