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« La bastonade te venero, » Dist fraire Thomas cordelier; -vij.. »ï)’)e supprime les prières riraées annoncées dans l’Accrtissemcnl parce que je n’arplus le droit de les supposer inédites. Voici ce que m’écrit M. Léonce Couture «Le premier fragment commençant par le vers Pource, Vierge au cueur piteuse, est la seizième strophe de l’Oraison 1res décote, plaisante et bien composec en l’honneur de la Roync de Paradis contenant x j. couplets. Ce dernier couplet se trouve au verso du feuillet i des Heures de Simon Vostre de 1515(in-8°), que j’ai sous les yeux.– Ces mêmes heures renferment, à la suite, la longue prière rimfe A toy Royne du hault parage, avec le distique place a la fin tame qui est dordure tainetc » L’niin, au feuillet oij c* commence l’Aultre orayson a la glorieuse Vierge Marie [pour dire totu lesjcurs En tout ce que jauray mesticr. Aïe. » Tout cela n’offre aucune variante notable avec votre copie. Je crois, de plus, que les mêmes textes poétiques se trouvent dans plusieurs autres livres d’heures de la même époque. » (2) Dans la Rccue catholique de Bordeaux du 10 mai 1890, j’ai posé (p. 288) cette question sur les prédications de Thomas Illyricus en notre sud-ouest: k Tous connaissent ce moine à la parole ardente, entrainante, d’une famille originaire d’Illyrie (d’où son surnom d’Illyricus), qui, renouvelant au commencement du xvi’ siècle les prodiges oratoires de saint Vincent l’erricr, couroit le monde, preschanl ta pénitence, et annonçant le courroux prochain dv Dieu, comme s’exprime Floriraond de Raymond (La naissance, progrea et <&’<cytce SECONDE PARTIE ,CHANTS HISTORIQUES (1) [De frère Thomas] (2) Doit ainsi faire sa comptai note. < Glorieuse Vierge Marie A toy me rens et si te prie Que tu me vucilles ayder