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aucun respect, vous poussiez juger de leur dicte demande et de celle qui vous a esté présentée par. les susdits seigneurs de Guise, connestable, et mat`eschal; qui seroît le vray et certain moyen pour apaiser, comme ils pensent, les troubles, et nous preserver des ruines qui nous menacent. Et craignant de vous ennuyer de trop longue lettre, j’ay donné charge au présent porteur de vous en dire tout ce que j’en ay pu comprendre, vous suppliant très humblement le vouloir esoouter, èt m’excuser si je vous confesse litïr~ment le peu de moyen que j’ay de vous faire service en cette affaire. Et toutesfois je n’en ay, en rien qui soit, diminué la bonne volonté, et espcre qu’à l’heure qu’il y aura moins d’apparence d’accord. Dieu fera quelque ouverture de laquelle vous serez consolée comme le bon zele qu’il vous a donné le mérite. Madame, je prie No3)re-Seigneur vous donner, en paetaicte santé, tres longue et tres heureuse vie. D’Orléans, ce xt mai 1562. Vostre très humble et tres obéissant serviteur, MONLUC E. VALENCE (1). vi ~i~doh)ictiice de Jeàn de ~lt’onduc, la~qüe ’de i~atei~ce, att süjet de = gü.édquea )tàairea du port de ~o~feaKjf. T Jehan de Monluc, evësque et comte de Yalence et Dye,cohseiHer du roye&son rfivé conseil, à Maistre Jean de Mali.laë, côn--seiller dudit (1) Fonds français, vol. 6607, f 23. Original. On trouve une copie dans un autre volume du même fonds, m’ 6620, P 81.’e dois communication de ce documont M, de Ruble, qui a eu l’amabilité de me communiquer aussi t’analyse de Vota autres lettres de Jean de Monluc encore inédites la Bibliothèque Nationale 1* Lettre aux consuls de Valence, écrite d’OrXans ie il mai 156S. Le roi l’a dépêcll61 lyon et à Valence et lui a commandé de iareékr à Orlêans pour y négocier. Comme la négociation lera longue, U leur envoie le présent porteur, leur conseillant de le croire et de rester <!<të!e9 au roi. Il «prime le regret de ne pas avoir été plus t informé des événement de Yalence. (Fonds trancais, voL Mt90, f’163. Copie du temps.) 2- LettM a t’abbé de Malloc, vicaire général de Valence, ourle même sujet et a !a même date. f~ f’ 163, v*. Copie dll.ler:nps.) S’ Lettre à Tavànnes, ~te de Surieu,Je 3 octobre 156~: Il fui annonce qU"1118 rend en Bourgogne et, <omme le pile est en guerre il lui demande .uee lettre de reoommandauon. (Fonds français, -vot 4631, f ’t9, Original:)