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Au baron de Beausoleil, à Marseille, à M. Viaz.


Année 1628.


3 Janvier  
À M. de Cassagne, avec le Nonnius de re cibaria et de salubri potu[1], à M. Viaz, au S. de Beausoleil.
7 » [pour Rome]
Au cardinal Barberin, svec les vers d’Abr. Remius, au S. Suarez, avec les extraicts de Gervasius Tilleberiensis, au S. Holstenius, avec des vers de Remius, au S. Cavalier Dony.
16 » [pour Valence]
À M. Pacius, à son aisné.
    [pour Mompelier]
À M. Ranchin le général à Mme de Clausel (du cabinet du Chancellier).
    [pour Toulouse]
À M. d’Abbatia, avec les vers du S. Remy, pour Dom Taddeo, à M. de Pamies, à M. Challette.
19 »  
À l’archevesque d’Avignon[2], au S. de Cohorne, secrétaire de la légation[3].
  1. Diœteticon, seu de re cibaria libri quatuor (Weiss : Biogr. Univ.) Antv. Bellerus, 1627. L’auteur Louis Nunez, d’origine portugaise, mais né à Anvers, vers 1560 (Ibid.) était un médecin fort érudit, auteur de plusieurs ouvrages. Il s’occupait de numismatique et compte parmi les amis de Rubens (R).
  2. Marius Filonardi (1624-1644). Une des rues d’Avignon porte, en souvenir de ce prélat, le nom de rue Filonarde.
  3. M de Cohorn est un des aïeux maternels de mon vénérable ami M. le Marquis de Seguins-Vassieux, lequel m’a communiqué sur ce correspondant de Peiresc des renseignements que j’utiliserai dans un fascicule où seront groupés, autour du demi-provençal Abraham Remy (il n’appartient à la Provence que par son séjour chez le premier président d’Oppède, des enfants duquel il fut précepteur), plusieurs personnages réellement provençaux.